Hypocorticisme chez le chien: prévalence 0.06-0.28%.
Signes cliniques peu spécifiques.
Amélioration des signes cliniques après la mise en place d’un traitement symptomatique.
Défi diagnostique.
Mécanismes physiopathologiques.
Diagnostic.
Prise en charge médicale.
Auteur : Dr. C. Bille 25-01-2014
Centre Hospitalier Vétérinaire des Cordeliers, 29-35 avenue du Maréchal Joffre, 77100 Meaux.
E-mail : cbille@chvcordeliers.com
La lymphangiectasie est une entéropathie exsudative assez fréquente chez le chien, rare chez le chat. La clinique et l’échographie permettent d’orienter le diagnostic. L’analyse histologique des biopsies intestinales permet de conclure sur l’existence d’une maladie inflammatoire chronique de l’intestin. Les biopsies peuvent être réalisées lors d’une laparotomie ou par laparoscopie avec un abord minimal de la cavité abdominale.
Ce cas illustre la démarche diagnostique face à une telle suspicion.
Auteurs : Drs. J. Marel et S. Libermann 24-08-2010
Centre Hospitalier Vétérinaire des Cordeliers, 29 avenue du Maréchal Joffre, 77100 Meaux.
E-mail : slibermann@chvcordeliers.com
La première chirurgie est la meilleure chance de guérir l’animal.À chaque révision chirurgicale, les chances d’être curatif sont moindres.
Auteur : Dr. S. Etchépareborde 27-01-2015Centre Hospitalier Vétérinaire des Cordeliers, 29 avenue du Maréchal Joffre, 77100 Meaux.E-mail : setchepareborde@chvcordeliers.com
Cet article a été publié dans : PratiqueVet (2014) 49 : p 696-699
Un premier article (Pratique Vet, 2011) a rappelé la réalisation et les indications de la coproscopie chez le chien et le chat et a abordé ses limites.
Ce nouveau « Question de cours » est consacré aux examens complémentaires ou aux alternatives diagnostiques de la coproscopie lorsque celle-ci a atteint ses limites ou n’est pas indiquée.
Auteur : Dr. E. Rattez 19-11-2015Centre Hospitalier Vétérinaire des Cordeliers, 29 avenue du Maréchal Joffre, 77100 Meaux.E-mail : erattez@chvcordeliers.com
Sur un peu moins de 1800 tonnes d’antibiotiques consommés chaque année en France, environ deux tiers le sont pour les animaux[1]. Bien sûr, lorsque l’on rapporte ces chiffres à la consommation par kg d’utilisateur, les humains consomment une dose d’antibiotique près de trois fois supérieure à celle des animaux.
Auteur : Dr. S. Etchépareborde 01-11-2015Centre Hospitalier Vétérinaire des Cordeliers, 29 avenue du Maréchal Joffre, 77100 Meaux.E-mail : setchepareborde@chvcordeliers.comCet article a été publié dans : L’Essentiel (2015) : p 40-42
Il est incontestable que Fleming doit se retourner dans sa tombe en voyant l’utilisation des antibiotiques faite par les vétérinaires. En revanche, c’est dans mon lit que je fais des tours en voyant comment veulent nous accabler certains, nous vétérinaires pour petits animaux, de la responsabilité des antibiorésistances ; peut être pas toujours de manière bien construite. Dois-je me sentir responsable des 25 000 morts européens annuels liés aux bactéries ultra-résistantes 1 à chaque fois que j’injecte de la céfovécine ?
Auteur : Dr. S. Etchépareborde 07-10-2015Centre Hospitalier Vétérinaire des Cordeliers, 29 avenue du Maréchal Joffre, 77100 Meaux.E-mail : setchepareborde@chvcordeliers.comMots clefs : Cet article a été publié dans : L’Essentiel : p 7-8